L'écrivain américain Dean Wesley Smith a écrit un billet intitulé : Edition : comment tuer ses ventes coup après coup, (Publishing : killing your sales one shot at a time).
J'ai préféré le traduire ici par le plus positif quoique banal "comment
mieux vendre", même si cela ne reflète pas la métaphore et l'humour
particulier de l'auteur. Bref. Il y est question de couverture et de
quatrième de couverture, c'est à dire les différents
aspects marketing sur lesquels un autoéditeur "a la main". Les
conseils recoupent en partie ma propre expérience, et m'ont paru
suffisamment pertinents pour recommander aux personnes intéressées
de faire un tour sur son site, en suivant ce lien.
On sait qu'outre la qualité intrinsèque du livre, sujet que je n'aborderai pas ici, il n'y a pas de recette miracle pour vendre. Les professionnels ne sont pas toujours d'accord entre eux sur de nombreux aspects. Ces conseils ne conviendront pas à tout le monde, il est d'ailleurs possible qu'un jour, des ebooks se vendent précisément en raison de leur aspect "non professionnel".
En ce qui me concerne, j'essaie comme Dean Wesley Smith de donner un aspect pro, ou au moins semi-pro, à mes livres. On peut y arriver sans tenir compte du moindre conseil, mais en observant simplement scrupuleusement ce qui se fait, et ce qui marche.
A ce titre, l'expérience des séances de dédicaces est précieuse, puisque je peux voir, en terme de présentation rapide de mes livres, ce qui fait mouche parmi les personnes que je rencontre. Et le reproduire plus ou moins pour mes quatrième de couverture.
Les différents conseils de pro peuvent tout de même faire gagner du temps, c'est pourquoi je les lis avec attention, bien évidemment sans me départir de mon esprit critique.
Des conseils tout simples comme ceux que donne Dean Wesley Smith: augmenter la taille du nom de l'auteur pour le rendre plus repérable sur les petites vignettes, faire en sorte de donner le même look aux séries de livres, écrire une présentation qui ne décrive pas l'intrigue, mais permette aux lecteurs de savoir de quoi il retourne (d'après ce que j'ai compris, on privilégie alors la thématique et les genres et sous-genres), faire en sorte de donner du contraste aux caractères d'imprimerie et de choisir les mieux adaptés au genre en question, tout cela me semble pertinent.
N'hésitez pas non plus à lire la section commentaires du billet de Dean W. Smith, les débats permettent toujours de mieux se forger une opinion.
Un autre auteur, Jordan Strafford, estime que la couverture représente 40% des ventes. D'après lui, le prix de votre roman ou ebook représente aussi 40% des ventes. Les 20% restants représentent le reste, les critiques de votre livre, et les opinions des gens ("j'ai aimé votre bouquin et je vais essayer le suivant").
Jordan Strafford analyse également avec un certain détail différentes couvertures qui marchent, exemples à l'appui : les couleurs, le contraste. Son billet vaut aussi le détour. En gardant à l'esprit, bien sûr, que tout cela n'est pas une science exacte, et que l'originalité peut aussi être un atout.
On sait qu'outre la qualité intrinsèque du livre, sujet que je n'aborderai pas ici, il n'y a pas de recette miracle pour vendre. Les professionnels ne sont pas toujours d'accord entre eux sur de nombreux aspects. Ces conseils ne conviendront pas à tout le monde, il est d'ailleurs possible qu'un jour, des ebooks se vendent précisément en raison de leur aspect "non professionnel".
En ce qui me concerne, j'essaie comme Dean Wesley Smith de donner un aspect pro, ou au moins semi-pro, à mes livres. On peut y arriver sans tenir compte du moindre conseil, mais en observant simplement scrupuleusement ce qui se fait, et ce qui marche.
A ce titre, l'expérience des séances de dédicaces est précieuse, puisque je peux voir, en terme de présentation rapide de mes livres, ce qui fait mouche parmi les personnes que je rencontre. Et le reproduire plus ou moins pour mes quatrième de couverture.
Les différents conseils de pro peuvent tout de même faire gagner du temps, c'est pourquoi je les lis avec attention, bien évidemment sans me départir de mon esprit critique.
Des conseils tout simples comme ceux que donne Dean Wesley Smith: augmenter la taille du nom de l'auteur pour le rendre plus repérable sur les petites vignettes, faire en sorte de donner le même look aux séries de livres, écrire une présentation qui ne décrive pas l'intrigue, mais permette aux lecteurs de savoir de quoi il retourne (d'après ce que j'ai compris, on privilégie alors la thématique et les genres et sous-genres), faire en sorte de donner du contraste aux caractères d'imprimerie et de choisir les mieux adaptés au genre en question, tout cela me semble pertinent.
N'hésitez pas non plus à lire la section commentaires du billet de Dean W. Smith, les débats permettent toujours de mieux se forger une opinion.
Un autre auteur, Jordan Strafford, estime que la couverture représente 40% des ventes. D'après lui, le prix de votre roman ou ebook représente aussi 40% des ventes. Les 20% restants représentent le reste, les critiques de votre livre, et les opinions des gens ("j'ai aimé votre bouquin et je vais essayer le suivant").
Jordan Strafford analyse également avec un certain détail différentes couvertures qui marchent, exemples à l'appui : les couleurs, le contraste. Son billet vaut aussi le détour. En gardant à l'esprit, bien sûr, que tout cela n'est pas une science exacte, et que l'originalité peut aussi être un atout.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire