jeudi 26 mars 2020

Votre santé...

Notre système de santé est malade, comme vient le confirmer cette pandémie du Covid-19. La maladie dont il souffre à un stade encore plus avancé que les autres secteurs de la société s'appelle le vampirisme. Et ce vampire a un nom, Big Pharma.

 

 

A son époque, Molière dénonçait déjà le système de santé, et notamment les saignées pratiquées par les médecins. Mais aussi le fait, pour certains médecins, de profiter du caractère hypocondriaque de certains malades imaginaires pour se faire du blé. Les choses ont-elles vraiment changé aujourd'hui?

Je dirais qu'elles ont empiré, avec le franchissement de certaines lignes rouges. Le Covid-19 représente d'énormes enjeux financiers pour les labos qui développent des molécules. Comment, dès lors, s'étonner qu'un traitement aussi peu onéreux que la Chloroquine ne trouve pas grâce à leurs yeux? 


C'est pourquoi je vous invite à signer la pétition pour le dépistage massif, ainsi que l'utilisation de la chloroquine pour traiter la maladie

Ma novella Votre Santé c'est notre avenir, disponible sur Kobo/La Fnac, Amazon, et Apple reprend à son modeste niveau ce flambeau illustre légué par Molière.  Elle peut se lire comme un thriller, mais vous fera sans doute plus réfléchir qu'un médicament, tout en coûtant moins cher. 


Hanté par les spectres de son passé, Vick Lempereur revient en France dans l’espoir de trouver une solution à son don de double vue. Son cousin Henri, qu’il n’avait pas revu depuis des années, travaille justement dans l’un des plus gros laboratoires du pays. Le remède qu’entend lui administrer ce dernier n’est malheureusement pas à son goût, et bientôt, Vick se retrouve en train d’enquêter sur les dessous peu reluisants de l’industrie pharmaceutique.

Cette novella fait partie du recueil Le Vagabond et quatre autres thrillers, d’Alan Spade.

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/votre-sante-c-est-notre-avenir


Et si vous préférez le livre papier, vous pouvez aussi vous procurer mon recueil Le Vagabond et quatre autres thrillers, qui vous apprendra comment Vick Lempereur va être amené à infiltrer un labo pharmaceutique en France.


https://www.amazon.fr/Vagabond-quatre-autres-thrillers/dp/1500338737/




Note: les commandes Fnac des livres papier sont gelées pour défaut de paiement de la part de la Fnac, qui ne m'a pas réglé l'une de ses factures. Mieux vaut pour l'instant passer par Amazon. 

Autres articles à lire sur le même sujet:

Covid-19 : The game is over?!


Covid et mensonge d'Etat en France

mardi 17 mars 2020

Dédicaces suspendues jusqu'à nouvel ordre

Mauvaise nouvelle: après avoir appris que les magasins Cultura fermaient jusqu'à nouvel ordre, on m'informe aujourd'hui que les magasins Auchan ne reçoivent plus d'auteurs en dédicace.

Si je pouvais vivre de l'amour de mes lecteurs, je vivrais sans doute éternellement, mais je ne peux pas vivre seulement de cet amour, donc j'espère que la situation ne va pas s'éterniser.

J'ai conscience que cela dépend aussi de chacun de nous, et de nos efforts pour ne pas répandre le virus. En attendant une éclaircie, je suis de tout cœur avec les personnels médicaux, pour lesquels sécurité de l'emploi ne rime pas avec sécurité tout court... ce que notre gouvernement, comme les gouvernements précédents, a trop souvent tendance à oublier. 
Je suis contre la surmédiatisation du coronavirus, car il induit un effet de panique fortement préjudiciable à nos personnels médicaux, et à pas mal de gens.

Néanmoins, les professionnels vont être de plus en plus nombreux à guetter le moment où les choses vont revenir à la normale.

Pour ce faire, il existe un site qui fait le bilan du virus en temps réel. Sans avoir besoin de se faire intoxiquer à tout bout de champ par les médias. Car, comme l'indique le site aujourd'hui mardi 17 mars 2020, il y a certes eu plus de 185 000 cas confirmés et 7330 morts dans le monde, mais il y a aussi eu 80 236 personnes guéries. Tout n'est pas noir.

mercredi 4 mars 2020

Le journaliste autoédité, c'est vous !

La compagnie qui repose intégralement sur du contenu autoédité n'est pas, contrairement à ce qu'on pourrait le croire, Amazon, mais bien Facebook. Seule nuance, sur les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter, il faut parler de journalistes autoédités plutôt que d'auteurs autoédités comme sur Amazon. Journaliste au sens littéral, "qui créé un journal". C'est vous, c'est moi, c'est quasiment tout le monde.


Vous savez comment les grands pontes de Facebook et autres Twitters voient les utilisateurs actifs de leur réseau social (ceux qui postent des statuts ou y répondent, en gros)? Comme des journaux vivants interactifs bénévoles. Chaque statut posté est un article de journal venant alimenter le "newsfeed". Chaque journaliste peut réagir de manière interactive au contenu d'autres infos ou aux siennes. 
   
Et vous êtes non seulement journaliste rédacteur, mais aussi journaliste maquettiste: par le choix de vos amis sur les réseaux sociaux, vous déterminez quel sera le contenu de votre "newsfeed", journal en direct live. Vous voulez des photos de gâteaux? Ayez des amis pâtissiers...

L'utilisateur apporte sa part de contenu bénévolement, mais aussi ses informations personnelles, susceptibles d'être revendues à part. Le tout permet de revendre de la pub à des annonceurs, annonceurs qui peuvent très bien être des utilisateurs Facebook ou Twitter, qui collaborent donc ainsi à plusieurs niveaux à l'enrichissement de quelques-uns.

Les petits ruisseaux faisant de grandes rivières, ce sont des milliards d'euros qui sont ainsi amassés par les plus grands réseaux sociaux, et en particulier Facebook.

Je vois déjà les puristes monter sur leurs ergots, me parler de "vérification de l'information", de "professionalisme", de "démarche radicalement différente", etc. Quand je dis journaliste autoédité, il faut prendre le mot "journaliste" au sens littéral : celui ou celle qui écrit un journal.

Cela peut être un journal écrit, ou bien un journal vidéo, ou photo. Un journal intime, ou à large portée. Peu importe la qualité du contenu, la masse produite en temps réel suffit à concurrencer de multiples journaux "classiques". Jusqu'aux télés et radios. Le nouveau Paris-Match? Instagram!

Sur le plan qualitatif, on pourrait rétorquer que Facebook est le premier moteur de désinformation au monde.

En témoignent les milliards de fake news qui y circulent.

En témoigne le simple label "Sponsorisé" pour différencier le contenu publicitaire des posts "authentiques".


En témoignent aussi ces annonceurs à la solde d'hommes politiques richissimes, capables de mettre des centaines de millions de dollars (voire un milliard, pour la prochaine campagne de Trump) sur des pubs Facebook dans le but de faire basculer le sort des prochaines élections de manière anti-démocratique.

Une telle pratique, payer pour faire de la pub politique, est maintenant interdite sur Twitter, mais Mark Zuckerberg est l'un des grands potes de Trump...

Il n'empêche que sur le plan économique, le poids d'un Facebook n'est plus à démontrer. Sur le plan de l'influence, les médias traditionnels sont battus. A tel point même que les médias se servent des posts ou tweets les plus populaires pour prendre le pouls de la population, et pour, eux-même, faire couler de l'encre en reprenant ces infos populaires.

Si bien qu'on ne sait plus vraiment qui est la chambre d'écho de qui.

Si vous êtes l'un des sept mercenaires, je veux parler des sept abonnés à ce blog, vous avez peut-être lu mon article sur "la liste des blogs et sites qui ne vous chroniqueront pas".

J'y dénonçais les blogs et sites qui ne chroniqueront pas les auteurs autoédités sous prétexte qu'ils sont "illégitimes", que leur travail n'a pas été "adoubé" par un éditeur.

J'avais écrit l'article en janvier 2016. Quatre ans plus tard, j'ai gagné en sagesse et en maturité. Avec le recul, je peux vous dire que les personnes qui ont cette attitude sont des crétins puants l'hypocrisie à plein nez.

Car ces blogs et sites, par leur travail, participent eux-même de cette vaste entreprise d'autoédition journalistique.

"Mais j'écris mon blog par passion, juste pour quelques personnes et moi. Pas pour le monétiser comme un journaliste professionnel. Il n'y a pas de pub sur mon blog. Et je ne poste aucun article sur les réseaux sociaux."

Je veux bien l'entendre. Sauf que n'importe qui est susceptible de poster le lien vers votre article sur Facebook. Et dès lors, que vous le vouliez ou non, votre article sera monétisé. Il n'y aura même pas besoin de cliquer sur le lien vers votre blog. Il suffit que la news la plus proche de votre lien dans le fil de news soit une pub, et que l'on clique dessus pour que ça rapporte de l'argent à Facebook.

Donc oui, votre attitude est stupide.   
 
Vous trouvez que je vous manque de respect? Vous voulez gagner mon respect? Allez au bout de votre démarche anti-autoédité, et supprimez votre blog et l'intégralité de son contenu.


Ou alors... Ou alors, on arrête les conneries au sujet de l'autoédition, et on se met autour d'une table pour que chacun puisse profiter d'une part du gâteau. Les réseaux sociaux comme Facebook doivent être taxés. Le produit de ces taxes, associé au produit des taxes sur les opérations financières et des taxes sur les robots, doit permettre de verser un revenu universel inconditionnel à chaque citoyen, actif ou inactif, à compter de 18 ans.

Si cela arrive un jour, plus personne ne se moquera de l'autoédition.

dimanche 1 mars 2020

Chronique Les Nouveaux Gardiens

La toute première chronique des Nouveaux Gardiens, quatre mois après sa parution, est celle des Chroniques de l'Imaginaire. J'espère que ce ne sera pas la dernière, mais j'avoue que je n'ai plus la motivation suffisante pour courir après des chroniques de blog. Si des chroniqueurs de Thrillers, Science-Fiction ou Fantasy souhaitent me contacter (à condition de tenir au minimum un blog, bien sûr), je réponds aux messages (alan1spade at yahoo.fr). J'ai cependant fait le choix de ne plus être proactif pour les chroniques ou les articles de blog de mes livres. Je me contente de déposer mes services presse sur le site Simplement Pro. Je tiens néanmoins à rendre hommage au site Les Chroniques de l'Imaginaire, avec lequel j'ai une collaboration depuis mes débuts. Je remercie toute l'équipe pour cela, et pour ce travail sur mon dernier roman Les Nouveaux Gardiens. Afin de témoigner ma gratitude, je publie ci-dessous l'intégralité de la chronique de la rédactrice, Soleil.

Ayant moi-même été journaliste, j'ai longtemps tenu à avoir une revue de presse suffisamment étoffée de mes livres, comme en témoigne mon site d'auteur.

J'ai cru à un certain moment que les blogs qui soutiennent les auteurs indépendants (largement plus de 200) seraient suffisants pour me permettre d'obtenir des chroniques, en déposant tout simplement mes services de presse sur le site spécialisé Simplement Pro.

Comment en effet s'assurer de la motivation de blogueurs (souvent des blogueuses) et éviter toute forme de harcèlement, si ce n'est en faisant en sorte que ce soient eux qui vous contactent, en passant par un intermédiaire? Pour moi, c'était la solution idéale.

En toute sincérité, depuis 2017, je n'ai bénéficié que de deux chroniques de livres grâce à Simplement Pro. Deux. Chroniques. J'ai refusé la dernière demande en date, puisque la personne ne tenait pas de blog littéraire, et ne parlait pas de livres sur sa chaîne You Tube. 
 
La loose, quoi. 
 
Ce n'est pas que les blogueurs soient méchants ou indifférents, c'est juste qu'ils sont débordés. Pour moi, le calcul entre les efforts à produire pour obtenir une chronique de la part de blogueurs et le gain en termes de notoriété ou de ventes n'est absolument pas rentable.

Même s'il m'arrive de m'appuyer sur des chroniques pour vendre en dédicace, je n'ai pas besoin des blogs pour vendre, c'est un fait. J'ai dernièrement dépassé le cap des 10 000 livres papier vendus depuis 2010. Et si mes romans ne méritent pas d'être chroniqués, tant pis pour eux.

Je reste sur Simplement Pro, parce que c'est une solution qui ne demande que très peu d'efforts de ma part. Mais je n'irai pas au-delà. Ne vous étonnez donc pas si à l'avenir, les articles sur mes romans sont très, très, très rares.  
 


Le boulot de détective privé en freelance connait des hauts et des bas, Vick Lempereur le sait bien. C'est pourquoi il n'hésite guère quand, après une mission réussie à San Francisco, il est contacté par une organisation à la recherche de recrues aux profils spéciaux. Les Nouveaux Gardiens annoncent agir pour le bien public, en rétablissant l'équilibre mis à mal par des entreprises trop ambitieuses. Outre les buts nobles et la paye avantageuse, le petit commando des Nouveaux Gardiens intervient de manière discrète et musclée (et bien souvent illégale) : ce parfum d'aventure et de danger achève de convaincre Vick, qui accepte immédiatement de rejoindre l'organisation.
Les missions de Vick s'enchaînent, sans temps mort. Les amateurs d'espionnage et de thrillers devraient y trouver leur compte, car on y trouve tout ce qui fait le succès du genre : les missions soigneusement préparées, les gadgets ultra-sophistiqués, le frisson d'adrénaline au moment clé, les méchants très méchants aux tortures raffinées...

Bien qu'il semble que les différentes missions aient un caractère très différent, elles sont pourtant liées entre elles par un vrai fil conducteur. Le premier chapitre, dont on ne comprend pas de suite ce qu'il vient faire ici puisqu'il ne se rapporte pas au héros, se révèle finalement un élément qui s'inscrit dans l'intrigue globale. La fin est joliment amenée et bienvenue, même s'il est dommage que la présentation de l'ouvrage en dévoile une partie, alors même que cela ne couvre que les trois derniers chapitres (sur quarante-huit).

Le surnaturel, s'il n'est pas au centre des péripéties, reste un aspect important du récit. Vick possède un don particulier : il voit les esprits des défunts et peut se faire posséder par eux, ce qui n'est pas toujours à son goût, d'ailleurs ; son patron direct, lui-même doté d'une sensibilité au surnaturel et de capacités spéciales, a choisi les membres de l'équipe en fonction. Ce côté fantastique est sympathique et s'intègre bien dans l'intrigue.

L'écriture est plaisante, très fluide, et on ne s'ennuie pas. J'ai un peu regretté l'omniprésence des messages en filigrane (danger des multinationales, nécessité de prendre soin de la planète...), ainsi que la moralité douteuse des protagonistes (la fin justifie les moyens). Rien de nature à réellement gâcher la lecture, cependant. 

N'étant pas à la base amatrice de thrillers, je n'ai pas entièrement adhéré, mais je pense que ce roman pourrait plaire sans souci aux lecteurs qui apprécient le mélange de thriller et de fantastique.

Soleil, le 29/02/2020 22:24
Note de l'auteur/éditeur : la présentation des Nouveaux Gardiens a changé depuis sa parution. La nouvelle présentation est la suivante:  

Au cours du conseil d’administration de la prestigieuse société de smartphones Bluenak, un cadre supérieur, filmé par l’un de ses pairs, se précipite sur l’un de ses collègues et essaie de l’étrangler, comme possédé. Il faudra sept hommes pour le maîtriser avant qu’il ne décède d’une crise cardiaque.

En se rendant en Californie pour enquêter sur une compagnie de biotechnologie, Vick Lempereur ne se doute pas qu’il va devoir affronter le plus redoutable adversaire qui ait jamais croisé son chemin, ni que cette piste va finalement le mener à Bluenak. Pour survivre, une aide aussi bien physique que surnaturelle ne sera pas de trop. Celle des Nouveaux Gardiens, et de leurs compétences très spéciales.

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